Les analyses de 48 pots de peinture le montrent : les conservateurs du type isothiazolinone et la méthylisothiazonline (MIT) en particulier, de puissants allergènes sont présents à des concentrations non négligeables dans les peintures à l’eau. Pire, cette présence n’est pas indiquée systématiquement sur les étiquettes des composants et certaines peintures écolo contiennent ces substances indésirables. « 60 » a mené des tests complémentaires sur 14 de ces pots de peinture qui, au-delà de la présence de thiazolinones ont décelé des composés organiques volatils (COV) problématiques, augmentant d’autant plus les risques toxiques.