L'institution ordinale regrette que la Secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre, chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes ait tenu des propos apparemment mal documentés et qui pourraient aggraver la défiance des femmes envers le corps médical dans son ensemble, mais aussi décourager de possibles vocations pour des spécialités médicales aujourd'hui en souffrance sur le plan démographique